CROUB: Une heure pour reverdir le Burkina
Vie du Centre régional des œuvres universitaire de Bobo-Dioulasso (CROUB)
Pour la reforestation du Burkina Faso : la direction du Centre régional des Œuvres universitaires de Bobo-Dioulasso (CROUB) apporte sa contribution.
Le samedi 12 juillet 2025, le Directeur du Centre régional des Œuvres universitaires des Bobo-Dioulasso (CROUB), Arsène SOME a organisé une séance de plantation d’une centaine (100) de plantes locales dans la cour de la Cité universitaire Koubabwé de Bobo-Dioulasso.
Cette activité de reboisement a été réalisée dans le cadre de la journée nationale de l’arbre qui s’est déroulée sur tout le territoire national le 21 juin 2025. Cette activité, conduite en différée, se justifie par le fait que les étudiants de la cité ont eu des contraintes qui les empêchaient de participer massivement à la journée nationale de l’arbre. En effet, selon le Directeur du CROUB, Arsène SOME, le reboisement de ce 12 juillet répond à l’appel de Son Excellence, le Chef de l’Etat, Capitaine Ibrahim TRAORE, « 01 heure pour reverdir le Faso ». A notre niveau, a-t-il expliqué, à la date du 21 juin 2025, « Journée nationale de l’arbre », beaucoup d’étudiants de la cité étaient en devoirs et certains étaient pris pour les jeux universitaires », rendant ainsi difficile leur participation significative. Pour lui, cette journée de plantation vise le double objectif : répondre à l’appel de Son Excellence, le Chef de l’Etat, Capitaine Ibrahim TRAORE et reverdir le cadre de vie des étudiants en cité.
Cette activité de reboisement a connu la participation de toutes les associations estudiantines vivant en cité universitaire Koubabwé, de la direction régionale de l’environnement des Hauts-Bassins, représentée par le Commandant Z. GNOUMOU, du partenaire SAWADOGO, PDG du l’entreprise Wend Panga Télécom, à Bobo-Dioulasso. Les acteurs de la cité Koubabwé ont planté plusieurs espèces locales à vertu thérapeutique et alimentaire. Il s’agit notamment du baobab, arbre résistant et à vertu très diversifiée, du tamarinier, du detarium et bien d’autres essences forestières.
Le C. Com/UNB